Le dernier Voiles et voiliers propose un article sur les avancées technologiques en matière de motorisation électrique sur des voiliers. Cela est passionant et donne des idées pour les Ameliens. Utiliser un GE pour faire tourner un moteur électrique (taille grosse boîte à chaussures) branché sur l’arbre est terriblement séduisant : consommation, bruit, pollution, encombrement, entretien, fiabilité…
Pourrait on ouvrir une boîte à idées pour un jour envisager ce modèle de propulsion qui a l’air d’être au point. Je suis convaincu pour ma part de la justesse de l’idée et de sa faisabilité surtout que sur nos bateaux (SM 2000 pour moi) l’adaptation semble à portée de réussite.
Qu’en pense le chantier de remplacer notre fier diesel par 2 ou 3 batteries en plus et 2 moteurs électriques couplés au renvoi d’arbre Amel.
Libre à chacun d’imaginer quoi faire de l’espace laissé vide, les idées ne manqueront pas.
Salutations marines
LILO
C’est vrai, ce système est très séduisant. Cependant si des essais ont été réalisés depuis longtemps, ce n’est que depuis deux ans qu’on retrouve la propulsion électrique dans la production de série.
Amel étant assez conservateur, le chantier ne se lancera probablement pas de sitôt dans ce genre de motorisation.
Attention avant de disposer de l’espace gagné… Il faut un groupe électrogène autrement plus gros que le 7 KVA. Dans un tel système, le groupe devra prendre une position centrale, les moteurs électriques seraient installés dessous.
Le groupe de service devrait être gardé comme sécurité pour tourner sur 1 moteur >> gain d’espace probablement nul. Mais ampères à gogo et silence d’utilisation.
Dans la foulée, on peut repenser le chauffage à air pulsé en chauffage électrique et bien évidemment la gazinière deviendrait une électrinière.
Plus besoin d’éolienne, de panneaux solaires ou d’alternateur d’arbre. Mais là, on n’est plus trop dans l’air du temps.
J’ai reçu le V&V, mais je n’ai pas encore eu le temps de le lire.