Bonjour
Qui pourrait me dire comment sont reliées à la masse les vannes d’aspiration d’eau de mer et d’évacuation des toilettes sur le Sharki (probablement identique dans le cabinet de toilette situé à l’avant sur le Maramu) ?
J’ai bien un fil de masse qui les relie ensemble mais je ne vois pas où ça part ensuite…
Bonjour,
d’une manière générale, les masses vont jusqu’à la mèche de safran. Au niveau des vannes etc… il faut bien vérifier que les fils sont bien en contact avec le métal qui est limé au niveau du contact.
Amicalement
François
Merci François pour cette réponse.
Il faudra effectivement que je vérifie cette continuité la prochaine fois que j’irai au bateau.
Mais je me demande par où passer si je devait tirer un nouveau câble…
Amicalement
Dominique
C’est assez rare qu’un fil de masse soit coupé ; déconnecté, oui (rupture collier de maintien par exemple, ou oxydation de la surface de contact).
Amicalement
Les fils de masse des 2 vannes sont bien reliés entre eux par une soudure cachée sous le vaigrage des équipés des toilettes. Ça remonte ensuite vers le passe-câbles qui longe le plat pont bâbord.
J’ai bien la continuité électrique jusqu’à la tresse de masse dans le compartiment moteur.
Pareil sur le maramu. Sauf que sur le mien il n’y a plus les fils depuis longtemps.
Il y a une grosse metalisation qui par dans le puit de la cale moteur, et un feuillard de cuivre coulé dans la resine qui part le long du safran depuis la mèche de celui ci. Il y en a un dernier feuillard qui par dans la face arriere de la partie fixe qui supporte les deux charnieres sur lesquelles le safran est fixé.
J’avais fait des test d’isolation sur le mien, mais je ne retrouve pas le papier ou j’avais noté le circuit. De memoire la continuité devait se faire partout du moment qu’il y a un morceau metallique dans l’eau, donc les prisonniers inox dans lesquels ont visse les anodes, les charnieres du safran, les passes coques divers.
Le systeme de liaison équiponentielle qui se faisait a l’epoque et aux US n’est pas vraiment utile ni perpétué de nos jours, trop contraignants, trop de problemes avec le temps (corrosion des masses etc) …