Plusieurs essais faits par les journalistes des revues nautiques durant les 20 dernières années arrivent tous à la même conclusion : bloquer l’hélice. C’est bon pour la vitesse et l’usure des pièces.
Avec un inverseur mécanique : enclencher la marhe arrière
Avec un inverseur hydraulique : la machoire du frein à disque s’en occupe
Il est utile de laisser tourner l’hélice si un alternateur d’arbre est monté. On ne le laisse tourner d’ailleurs que le temps de la charge.
Pour les hélices à mise en drapeau (maxprop, autoprop, etc…), il est même impératif de bloquer la rotation de l’arbre pour effectuer la mise en drapeau des pales
Mon avis est à l’opposé de ce qui a été dit :
Bloquer l’hélice freine le bateau ; j’en ai fait le test sur mon maramu hélice tripale d’origine :
avec un vent stable en force et direction, sans toucher le réglage des voiles :
6 noeuds avec helice libre et 5,6 noeuds avec hélice bloqué, idem avec alternateur d’arbre en fonction, soit une perte de 0,4 noeuds.
Le propriétaire précédent de mon SM a placé un inverseur hydraulique.
Il ne m’est donc pas possible de bloquer l’arbre d’hélice en navigation sous voile (hélice tripale Autoprop).
J’envisage de faire installer un frein d’arbre…
Pouvez-vous partager votre expérience à ce sujet ?
Marque, modèle, difficultés rencontrées, etc…
sur les A54 équipés d’autoprop, il y a un bloquage de l’arbre par un disque (frein à disque en somme) qui s’active automatiquement.
Amicalement François
De mon expérience dans d’autres domaines (et pas que la mienne ), une hélice en rotation freine plus qu’une stoppée.
en rotation, la surface balayée s’oppose à l’avance
bloquée, juste la surface des pales
Mais est-ce transposable ?
Par contre, niveau usure, yapaphoto
Avec l’alternateur d’arbre, on sait quand c’est chargé en surveillant simplement la tension ?
Pat_2b