Avec mon SM 2000, j’envisage une longue traversée l’année prochaine. Est ce que certains ont eu l’occasion de prendre une réserve supplémentaire de fuel autres que des jerrycans. J’ai pensé à une “vache” installée dans le coffre de la survie (passavent babord) qui est vaste et facilement transbordable vers le réservoir par un tuyau/pompe. La survie prenant place dans une corbeille installée sur le pont sous la bôme. Vos avis et expériences m’intéressent. Merci à tous les Drs Lépine.
Amitiés
LILO
Ce qui paraît séduisant à première vue, l’est peut-être moins à l’usage.
D’abord le côté bâbord est déjà surchargé par des équipements techniques qui ont gonflé avec l’évolution du SM. Groupe électrogène puissant, chargeurs, onduleur, pièces de rechange, désal rien que dans la cale technique. Cuisine et salles d’eau pour l’intérieur. Le SM accuse déjà 1 à 2 degrés de gîte bâbord à l’arrêt. Cela se vérifie bien sous voile, la remontée bâbord amure est meilleure que la tribord.
Alourdir ce flanc en ajoutant 200 kg de gasoil pas loin du maître bau ne va pas arranger les choses, à moins de vouloir tirer un bord de 2000 milles tribord amure …
La survie dans un berceau sous la bôme, n’est hélas pas une bonne idée, car elle va sérieusement gêner la vue depuis le cockpit, surtout capote tirée. Le matériel sera soumis aux embruns et sera exposé aux paquets de mer en cas de mauvais temps. C’est un bon endroit pour le perdre et pas un bon endroit pour aller le chercher en cas de problème grave.
Je suis désolé d’être aussi négatif pour ces 2 idées, mais mon expérience du SM me dicte la réponse.
J’ai adopté la rangée de jerrycans de 20L fixés sur des planches assujetties aux chandeliers. On peut ainsi ajouter facilement 200 litres de façon équilibrée et laisser le liferaft dans son coffre, qui n’est pas un endroit idéal, j’en conviens.
Merci à FVA pour son avis. J’avais bien un doute sur cette solution séduisante. Je n’arrive pas à me faire à l’idée des jerrycans extérieurs. Je cherche encore (autres point de vue bienvenus) sinon va pour les bidons au chandeliers.
Amitiés
Avec un code D ou un géneaker le SM cavale avec peu de vent. Si comme certains en dessous de 5kds vous mettez le moteur, vous vous êtes trompés…fallait acheter un troller ou un Pogo
bonjour ,
en quatre traversées de l’ atlantique , jamais dépensé plus de 50 litres de g oil / traversée
à l’ aller vers antilles ou brésil partir en janvier
retour en juin de saint martin
il y a du vent en permanence
le seul moment où le moteur est nécessaire c’ est le long de la côte du brésil entre rio et la guyane et le passage de la zitc éventuellement
sinon en grand voyage les panneaux solaires et l’ éolienne dimensionnés pour votre consommation remplacent avantageusement le groupe
après il faut perdre l’ habitude d’ être pressé ,
ou améliorer la marche à la voile par des code 0 , spi symetriques , hélice repliable , et surtout CARENE LISSE
amicalement pierre
Sur notre SM (#007), nous avons déplacé le BIB vers l’arrière soudé au rail babord via un coffre inox très semblable à celui des 54… joli et efficace.
La décision fut basée sur mon unique tentative d’extraction du BIB de son coffre babord… Je défie quiconque d’y arriver sans rencontrer de sérieux problèmes.
Tant qu’à l’ajout d’un réservoir = Niet. Gite babord serait trop. Par contre, si je désire vraiment des litres additionnels, ce serait dans des bidons attachés au rail.